Jean de Gribaldy : une Vie
L'Ami
La vie de Jean de Gribaldy en images
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21 Septembre 1967, au stade Léo Lagrange de Besançon, Jean abrite Jean Robic sous l’œil de Roger Pingeon, à gauche. Il tombe des trombes d’eau sur Besançon et la nocturne sur piste programmée ce soir là est annulée…
Un peu d’histoire. Au mois de septembre 1967, Jean de Gribaldy et l’Amicale Cycliste bisontine organisent à Besançon, sur l’anneau du stade bisontin Léo Lagrange une grande nocturne sur piste réunissant Anquetil, Poulidor, Gimondi, Stablinski, Pingeon, Janssen, Motta, Jimenez, Binggeli…Les légendes Robic, Kübler et Brulé sont aussi présentes.
A cette occasion, Jacques Anquetil, convaincu par de Gribaldy sur le Tour de Catalogne remporté par « Maître Jacques » (6 au 13 septembre), a décidé de tenter de s’attaquer au record de l’heure avant sa tentative à Milan. Le 25 septembre 1967, sous un soleil radieux, il réalise 45,775 Km dans l’heure à Besançon, et deux jours plus tard, 47,493 km dans l’heure en terre italienne. Le record ne sera jamais homologué, le coureur normand ayant refusé de se soumettre au contrôle anti-dopage.
Un peu d’histoire. Au mois de septembre 1967, Jean de Gribaldy et l’Amicale Cycliste bisontine organisent à Besançon, sur l’anneau du stade bisontin Léo Lagrange une grande nocturne sur piste réunissant Anquetil, Poulidor, Gimondi, Stablinski, Pingeon, Janssen, Motta, Jimenez, Binggeli…Les légendes Robic, Kübler et Brulé sont aussi présentes.
A cette occasion, Jacques Anquetil, convaincu par de Gribaldy sur le Tour de Catalogne remporté par « Maître Jacques » (6 au 13 septembre), a décidé de tenter de s’attaquer au record de l’heure avant sa tentative à Milan. Le 25 septembre 1967, sous un soleil radieux, il réalise 45,775 Km dans l’heure à Besançon, et deux jours plus tard, 47,493 km dans l’heure en terre italienne. Le record ne sera jamais homologué, le coureur normand ayant refusé de se soumettre au contrôle anti-dopage.